La chose manquante. (Jeudi 24 aout 2002, 11h45)

Franklin s’arrêta lorsqu’il entendit une voix qui lui était familière, il tourna la tête en direction de sa porte de chambre et vit son oncle, il le regarda de haut en bas, et son regard s’arrêta sur sa main, qui portait une balle de base ball, Franklin retourna à ses pensées et finit par en conclure ;

* Non ! Ce n’est pas l’objet qui me manque ! *

Franklin recommença à fouiller sa chambre de long en large, puis il s’arrêta devant son oncle, et leva la tête pour le fixer droit dans les yeux.

Tu ne trouves pas que…quelque chose manque ici ? Mais seulement ici ! Une seule chose ! Alors ?

Il ne lâcha pas Johnny du regard, enfin par moment il louchait sur la balle de base bal que ce dernier tenait en main, en ce demandant si cette balle n’était pas ici avant, mais après mûr réflection ;

* Non ! Sûr et certain que cette balle n’est pas l’objet que je recherche ! Si seulement je me souvenais de quoi il avait l’air ! Ce serait moins compliqué ! *

Franklin ne dévia pas son regard de son oncle, attendant une réponse, puis une suggestion se manifesta dans sa tête ;

* Et si il y’ avait un voleur parmi la famille ? *

Se demanda t-il, mais assez vite, il trouva que cette question était stupide, mais Franklin s’imagina très vite chaque membre de la famille entrain de volet l’objet mystère dans sa chambre.

* Sûrement pas l’oncle Ben ! Je l’aurais entendue ! Peut être maman ou papa ? Mmm possible ! Papa pourrait étendre ses bras pour prendre mon jouet et maman pourrait utilisé son invisibilité ! Quand a lui…*

Franklin regarda son oncle, un air songeur.

* Il serait aussi un bon coupable ! De plus qu’il arrive au moment où je recherche la chose disparue ! A moins que ce soit maman, papa, et lui ! Un gang…mmm…non c’est ridicule ! Pourquoi il s’amuserait à faire ça ! Mais peut être qu’ils en sont capables ! Mais c’est dur à croire ! *

Il arrêta de regarder son oncle, et se remémora à quand est-ce qu’il avait vu cet objet, la dernière fois.

* Quand est-ce que…ah oui ! Hier soir ! Sûr et certain ! Je me vois encore avec ce…mais ce quoi déjà ? *

Le blondinet fixa à nouveau son oncle ;

- Tu faisais quoi hier pendant que je dormais ?

-"Et bien hier soir j'ai volé à travers Manhattan, j'ai été drag ... voir des gens et je suis rentré, je me suis collé devant la télé et je me suis endormi. Mais tu sais Franklin, premièrement je ne vois pas ce que ta mère, ton père, ou encore moi ferait d'un de tes jouets ! Et de plus, tu es dans le Baxter Building ! La Tour des 4 Fantastiques !
Aucun voleurs n'auraient pu y entrer sans se faire repérer ! Allons ! Tu l'as surement perdu, arrête de le chercher, tu le trouveras surement par inadvertance ! C'est toujours comme ça."

Johnny enleva de ses épaules son neveu et le posa à terre. Son propre neveu l'avais suspecté de vol ! Le vol d'une figurine en plus !!! Assez flippant ! non ?

-"Allez t'inquiètes pas bonhomme ! Tu le retrouveras ton jouet !"

Puis Johnny partit se manger un morceau dans la cuisine.

Le gamin venait tout juste de finir de renverser à grand bruit sur le sol ses coffres à jouets, quand il entendit un voix couroucé et bien connue derrière lui. Depuis le matin, Suzan s'était demandé ce que fabriquait son petit garçon. Elle ne l'avait pas vu depuis le déjeuner, et elle était un peu inquiète de son silence, assi décida-t-elle d'aller voir ce qu'il fabriquait. et elle arriva devant la porte de sa chambre pour voir qu,elle était dans un désordre indescriptible! Tout avait été retourné et renversé sur le sol, c'était incroyable! Et son blondinet de fils se tenait au milieu du désastre avec un air pensif...

- Franklin! Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel?! Et tu n,es toujours pas habillé? Qu'est-ce que tu as fait toute la matinée?

Elle avait croisé les bras sur sa poitrine et avait un expression des plus fâchée. Elle semblait en colère, maintenant, et ne pas vouloir autre chose que la vérité toute nue de la bouche de son fiston. Elle attendait, l'air intraitable, que le petit s'explique.

- Alors? J'attends, Franklin!

Franklin sortit de ses pensées, lorsqu’il entendit une autre voix familière, celle de sa maman, mais cette maman là, semblait un poil en colère, Franklin lui fit un petit sourire, espérant que sa la calme un peu, mais apparemment, il n’y avait rien a faire, pourtant il n’y avait pas de quoi s'énerver puisque Franklin voulait tout rangé…une fois qu’il aurait retrouvé son jouet inconnue. Il se redressa, regarda sa mère et soupira lentement, pour qu’elle ne puisse entendre, et il lui annonça d’une voix un peu basse ;

-Ne t’inquiète pas M'man ! Je vais tout ranger ! Laisse moi juste deux, trois heures ! Je dois trouver quelque chose d’important ! Un de mes jouets a disparue cette nuit ! Je veux juste le retrouver !

Il s’arrêta un moment, regardant sa mère, quand elle avait les bras positionné ainsi c’était mauvais signe, Franklin se risqua donc à sortir une autre phrase ;

- Et puis tu n’as qu’à te dire que c’est du bordel utile ! Je fais sa pour trouver mon truc !

Il se mit à sourire à la fin de cette phrase, mais il ne savait pas si c’était le moment de sourire, il regarda ses jouets qu’il avait déballé, c’était vrai qu’il y’en avait pas mal, mais tout va si vite quand on cherche quelque chose, qu’on a même pas le temps de voir les ravages que l’on fait, Franklin toussota pour casser le silence qui c’était installé.

-Mais la chambre de l’oncle Johnny n’est pas mieux !

Dit-il rapidement, espérant que cette phrase allait dédramatiser l’ambiance.

Suzan avait toujours les bras croisés et l'air en colère, malgré le plaidoyer de non-culpabilité de son fils. Elle détestait quand il prenait cet air-là avec elle! Il ressemblait tellement à son père, alors... Et elle avait ensuite du mal à le gronder et à le punir, même s'il le méritait. Elle allait répondre quand Johnny reppassa par là et lui dit une bêtise - comme d''habitude! - Ce qui ne fit qu'augementer la colère de Suzan. Elle passa la tête dans le couliir et lui lança, alors qu'il s'éloignait déjà:

- Ne te mêle pas de ça, Johnny! Tu n'es certe pas un exempple dans le domaine de l'ordre et de la propreté!

Elle revint ensuite à son fil et regarda encore le désastre "organisé" qu'étais devenur sa chambre. Elle secoua la tête avec découragement en soupirant. Elle regarda son fiston en fronçant les sourcils et lui dit, d'un ton sans réplique:

- Je me fiche que ce désordre soit utile, Franklin! Tu me ranges ça au plus vite, et puis habilles-toi! Il est presque midi!

Elle fit une pause. Elle posa une autre question, sans doute assez essentielle, à son gamin:

- Qu'est-ce que tu cherches donc avec tant de ferveur que tu saccage ta chambre pour mettre la main dessus, pour l,amour du ciel!?

J'avais presque fini le tour du propriétaire lorsque j'entendis les voix de susan et johnny. Susan paraissait hors d'elle. Je me cachais dans un recoin laissant johnny passé sans me voir. Je n'avais pas envie de subir son humour ou pire ... Sa drague. Une fois le blond hors de vue j'allais voir ce qui mettait Susan en un tel état. Je fut surprise de trouver celle-ci devant un jeune garçon qui lui ressemblait. Son fils sûrement. Autour du gamin un amoncellement de jouer en désordre ... Mais un desordre qui bizarrement semblait construit.
Je posa ma main sur l'épaule de susan et dis d'un ton que j'espérais appaisant.

"Et bhé ! Ca c'est de la méthode. C'est plutôt courageux de mettre autant de jouer par terre pour en trouver un."

Je regarda le garçon dans les yeux en me penchant et me présenta.

"Je m'appelle Mariko. Tu peux m'appeller Mari ... c'est plus simple."

Balayais-je d'un revers de la main.

"Que dirais-tu de t'habiller pendant que je t'aide à organiser les recherches ? A nous deux on ira sûrement plus vite pour tous ranger."

Dis-je en direction de susan.

Quand Susan demanda à Franklin la cause de ce désordre, il hésita à répondre, de peur qu’elle se mette un peu plus en rogne, en apprenant que son fils ne savait pas à quoi ressemblait son jouet, mais il fallait se lancer ;

-En fait le jouet ! Je sais p…

Franklin s’arrêta, quand il vit une autre fille apparaître dans sa chambre, mais qui était elle, comment avait elle pu rentrer ici, il ne l’avait jamais vu, cependant cette « inconnue » semblait déjà moins en colère. Puis quand elle se présenta, Franklin lui adressa un sourire, et par la suite il regarda sa mère et lui fit, un autre, grand sourire, ce qui voulait dire ; Tu vois elle n’en fait pas tout un drame, Elle !
Par la suite, il se présenta rapidement à son tour ;

- Moi c’est Franklin ! Et je veux bien de ton aide !

Puis il partit de sa chambre pour s’habiller tout, quelques minutes lui suffirent au blondinet pour se changer, il rappliqua dans sa chambre et se pointa devant Mariko.

- Par quoi on commence ? Je suis certain que la chose n’est pas sortit de cette chambre ! Donc c’est inutile de chercher à l’extérieur ! Notre point de recherche est ici !

Dit-il, oubliant presque la mauvaise humeur de sa mère. Grâce à Mariko, il se sentit tiré d’affaire, il n’aurait pas à subir d’autre moral de sa maman, sur l’importance d’une chambre bien rangée. D’ailleurs Franklin fuyait, le plus possible, le regard de sa mère, c’est pour ça qu’il ne cessa de fixer Mariko, puis soudain des tas de questions s’entassèrent dans la tête du jeune Richards.

*Pourquoi elle est là ? Elle a l’air de connaître maman ! Bizarre ! Et si c’était elle qui avait le jouet…non ! Elle est trop grande pour s’amuser à ce genre de chose ! Mais pourquoi elle est là ? A moins que…mais oui ! C’est évident ! *

- T’es la nouvelle copine de l’oncle Johnny ?

Demanda t-il, en regardant Mariko dans les yeux, attendant sa réponse.

**Aïe...** pensa Suzan en entendant la dernière question de son fils.

Elle s'était un peu calmée en voyant son fils s'habiller enfin et Maroko arriver et proposer de l'aider à tout ranger. Elle regarda la jeune femme pour voir sa réaction, et finit par sourire à son fiston pour montrer qu,elle n'était plus trop fachée, et décroisa les bras. Elle dit pour détendre l'athmosphère et répondre à la question de son fiston.

- Non, ce n,est pas une copine de Johnny. mariko est une amie qui vient de très loin, d'une autre dimension, en fait, et nous l,avons acceuillie chez nous. En attendant de savoir d'ù elle vient et tout ça, tu vois...

Elle changea ensuite de sujet pour ne pas embarasser davantage la femme, et se pencha pour ramasser quelques petites fihurines qui trainaient sur le sol. Elle les remis dans un des coffres et se tourna de nouveau vers son fiston.

- Si tu nous décrivait ce que tu cherches, Franklin, on pourrait sans doute t,aider mieux, tu ne crois pas?

Je remerciai susan du regard, mais la question de son fils ne m'avait pas mise mal a l'aise. Tout juste m'avait-elle surpris. Et je decider que se jeune garçon paraisait assez intelligent pour savoir que johnny ne m'interresserait jamais.
Je posa un regard amusé sur le blondinet et dit.

"Non, franklin. Ton oncle pourrait être le prince charmant, bien élever, bien habillé, sérieux et polie avec la gente féminine qu'il ne serait pour moi qu'un ... Homme. Je suis d'une autre inclinaison. Tu comprend ?"

Je laissa le jeune garçon à sa réflexion et éviter le reagrd de sa mère. J'avais peur de comment elle allais réagir.
Le nom de Franklin richards résonna d'un coup en moi que me rappelait-il ?

"Connais-tu une jeune rachel summers ?"

Lui demandais-je en me souvenant avait eut un fils ... Un fils qui sans nous serais mort où dictateur.

Je commencait à ranger les jouets par type dans les caisses vides.

"On les mettra ensuite par taille ? Quand penses-tu ?"

Demandais-je comme pour balayer ma dernière question.

Je ria de bon coeur lorsque l'angelot dit que Johnny n'avait pas d'experience. Il ignorait surmement là réelle signification et me regarda d'un air sérieux. Il devait se demander si je me moquais de lui. Je préférais le rassurer.

"Tu as surement raison si ton oncle ben l'a dit."

Je préférais ne pas revenir sur le sujet de Rachel et de mon inclination. Je préférais donc noyer le poisson et dit :

"Agent de recherche à chef de recherche ..."

J'imitais le bruit de grésillement.

"Scratch ... La vitime principale reste introuvable ... Scratch ... Les autres sont arrivés à bon port et les services compétents s'occupent d'eux ... Scratch ... Que fait-on chef de recherche ?"

Finis-je en fixant le garçonnet.

Johnny repassa par là (Encore !) avec cette fois ci, le journal à la main (Mais il à vraiment rien à faire d'autre lui !). Il passa devant la chambre de son neveu et entendit ce que le garçonnet avait entendu sur lui, par l'oncle ben.

-"Hey ! Chef de Recherche ! Si t'es si malin, tu saurais qu'il faut pas croire ce que les gros méchants cailloux disent ! Bon alors tu l'as trouvé ton jouet ?"

Johnny avait vraiment mis son neveu en colère, et maintenant il s'en voulait. Il s'approcha doucement de Franklin, il s'accroupis et posa sa main sur son épaule.

-"Franklin, je suis désolé si je t'ai mis en colère, je m'excuse, et je m'excuserais aussi devant oncle ben, ... peut être... Je te promet de tout faire pour t'aider a retrouver ton jouet. Tu accepte ?"

La vérité sortait de la bouche des enfants... Si johnny était irrécupérable, autent que son irrécupérabilité servent à quelque chose.

Suzan allait gronder Franklin pour avoir lançé son jouet sur son oncle, mais elle se ravisa quand elle vit Johnny, contrit s'avancer vers le petit gars et s'excuser auprès de lui. Elle eut même un petit sourire très discret qu'elle cacha derrière sa main. Johnny pouvait parfaois être vraiment très énnervant! Et elle répondit plutôt à la question de son fiston à propos du labo de son papa.

- je ne sais pas, Franklin... Tu sais bien que ton père déteste te voir traîner dans les parages...

Elle réfléchit à la question quelques secondes, et se dit que ce n'était pas une très bonne idée pour le petit garçon. Elle ne voulait pas qu'il aille là, de toute manière, il y avait des choses bien trop dangeureuses dans ce labo. Elle eut cependant une idée qui pourrait accélérer le processus, et dit, en se penchant vers Franklin, devant lequel se tenait toujours Johnny:

- J'ai une idée, Franklin! Si je fais disparaître tout ce que je vois dans cette chambre, et supposant que ton jouet perdu est invisible pour le moment car bien caché, alors tu le verra et tu pourras le récupérer. Qu'est-ce que tu en penses?

Surprise par la réaction de Johnny, je ne dis rien pour rajouter à son malaise. Je fixa Franklin et dit.

"Ta mère a raison. Les laboratoires ne sont pas fait pour les petits garçons. Et puis son idée est très bonne. Si ton jouet est là mais qu'on ne le voit pas, il n'y a que son pouvoir pour nous aider."

Suzan sourit à Franklin, sa colère évaporée pour le moment. Elle se disait bien qu'il demanderait ce genre de chose. Elle se demandais parfois comment il faisait pout penser à autant de choses en même temps... Cependant, elle lui répondit, pour faire plaisir au gamin:

"Peut-être, Franklin, mais essayond d,abord mon idée. On verra ensuite."

Elle se concentra ensuite et fit disparaître tous les objets quise trouvaient dans la chambre et qu'elle pouvait voir, et la pièce sembla bientôt quasiment vide. Elle se tourna de nouveau ver son fils, et, le front légèrement plissé par la concentration, elle lui demanda:

"Alors, tu le vois, ton jouet, Franklin?"